Selon le quotidien britannique The Guardian, le chef de la direction de l'entreprise, Vikram Pandit, aurait toutefois demandé au conseil d'administration de Citigroup de ne pas vendre la filiale de courtage Smith Barney. La banque blâme d'ailleurs les spéculateurs qui feraient du « short selling » sur son titre.
Pas plus tard qu'hier, un des principaux actionnaires de Citigroup, le prince d'Arabie Saoudite Alwaleed bin Talal, a annoncé qu'il planifie investir près de 250 millions de dollars (M$) dans la société. Il estime d'ailleurs que le prix des actions est « dramatiquement sous-évalué » et planifie d'augmenter sa participation de 4% à 5%.
Plus tôt cette semaine, Citigroup a annoncé le licenciement de plus de 50 000 employés. Rappelons que Citigroup a enregistré près de 20 G$ en pertes durant les quatre derniers trimestres.
Avec The Guardian et le Wall Street Journal