Denis Dubé prend la direction des communications à la Banque Royale. Photo fournie
M. Chouinard part à la retraite après avoir passé 28 ans à la tête des relations publiques et des stratégies de communication de RBC Banque Royale.
M. Dubé a débuté ce lundi, mais il prendra officiellement la direction des communications de l’institution le 30 avril, après une période de transition. Il relèvera de Patrick Sieber, vice-président et chef régional de l’exploitation, Québec, de RBC.
Avant de se joindre à la RBC, Denis Dubé a œuvré pendant un peu plus d’un an dans le domaine de la santé. Il a dirigé les communications et les relations publiques du CSSS de la Haute-Yamaska.
Mais c’est surtout dans le milieu financier que M. Dubé a passé la majeure partie de sa carrière. Il a agi à titre de directeur principal des relations publiques de la Banque Nationale (Tor., NA) pendant huit ans (de 2002 à 2010) et comme directeur principal des Affaires institutionnelles et internationales à la Caisse de dépôt et placement du Québec pendant plus de deux ans (2010 à 2013).
Ce titulaire d’un baccalauréat en Sciences sociales et d’un certificat en journalisme a également dirigé les communications de la Commission des valeurs mobilières du Québec (CVMQ) de 1998 à 2002, après avoir été journaliste pour Les Affaires pendant deux ans.
«J’ai acquis une expérience enrichissante dans le domaine de la santé, où il y a des enjeux importants. Mais le poste de directeur des communications de la Banque Royale était tout désigné pour moi», a dit en entrevue l’homme de 54 ans. M. Dubé vise apporter une valeur ajoutée aux stratégies de communications et de relations avec les médias de RBC grâce à sa vaste expérience dans le domaine financier.
Grande période de réflexion
Raymond Chouinard prend sa retraite après 28 ans à la barre des communications.
Pour sa part, Raymond Chouinard admet en entrevue que l’idée de la retraite lui trottait depuis un certain temps dans la tête, bien qu’il était prêt à travailler plus longtemps. Mais à 69 ans, il s’est rendu à l’évidence que le temps était venu de passer le flambeau.
«Ça a pris un certain temps de réflexion pour me faire à l’idée de la retraite», confie celui qui travaille à temps plein depuis 43 ans.
M. Chouinard envisage une retraite active, mais ne prévoit pas consacrer son temps à des activités rémunérées.
Il continuera de siéger au conseil d’administration de l’Institut du cancer de Montréal, ainsi qu’à celui du conseil d’administration de son immeuble à copropriétés, en plus de faire du bénévolat et des activités physiques.