Ambrilia en sérieuse difficulté

Publié le 29/09/2008 à 00:00

Ambrilia en sérieuse difficulté

Publié le 29/09/2008 à 00:00

Par La Presse Canadienne

La réduction de la main-d'oeuvre touchera les postes en recherche fondamentale et préclinique ainsi que les fonctions administratives, a précisé l'entreprise montréalaise.

De plus, la suspension des activités de recherches et de développement en virologie a également permis à Ambrilia Biopharma d'éliminer des dépenses liées à des honoraires d'impartition et d'expert-conseil. Grâce à ces mesures, Ambrilia espère réduire ses dépenses mensuelles d'environ 400 000 $.

Selon le président et chef de direction de l'entreprise, Philippe Calais, la décision a été difficile à prendre, mais il l'a jugée nécessaire dans un contexte où les liquidités d'Ambrilia suffiront moins de 12 mois et les conditions du marché sont difficiles.

M. Calais a ajouté que son entreprise estime que la stratégie de cession d'actifs offre de meilleures chances de succès. Elle lui permettrait d'obtenir des capitaux non dilutifs et ainsi d'allonger la période durant laquelle elle n'a pas besoin de lever des capitaux. A l'aboutissement de ces mesures, Ambrilia pourra alors étudier divers choix stratégiques en regard de son portefeuille d'antiviraux.

Ambrilia Biopharma se consacre à la découverte et au développement de nouveaux traitements pour les maladies virales et le cancer.

Son action a retraité lundi d'un cent, soit 8,3 pour cent, à la Bourse de Toronto, où elle a clôturé à 11 cents.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.