«C'est maintenant la structure dont nous avions besoin pour nous libérer de la protection contre les créanciers», a indiqué David J. Paterson, président et chef de la direction.
La nouvelle équipe de direction est formée de cinq hauts dirigeants qui relèvent dès aujourd’hui de David J. Paterson :
- Alain Grandmont, vice-président directeur, ressources humaines et chaîne d'approvisionnement, assumera un nouveau rôle qui regroupera les fonctions liées aux ressources humaines et à la chaîne d'approvisionnement.
- William G. Harvey, vice-président directeur et chef des services financiers, continuera à s'occuper des finances de la société et de ses activités d'expansion.
- Yves Laflamme, premier vice-président, produits du bois, continuera à diriger les exploitations forestières et les scieries de la société, ainsi que les ventes de produits du bois et l'approvisionnement en fibre.
- Pierre Rougeau, vice-président directeur, exploitations et ventes, sera dorénavant responsable des exploitations et des ventes des divisions Papiers d'impression commerciale et Papier journal.
- Jacques P. Vachon, premier vice-président, affaires administratives et chef du contentieux, continuera à diriger les affaires juridiques de la société ainsi que d'autres fonctions administratives.
Ce bouleversement à la tête d’AbitibiBowater survient peu de temps après l’arrivée de Bruce K. Robertson, qui agit à titre de chef de la restructuration.
Remaniement à la tête d'AbitibiBowater
Publié le 16/07/2009 à 00:00
|
LinkedIn
À suivre dans cette section
dernières nouvelles
plus lus
À la une
Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale
Mis à jour le 18/06/2024
|
REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.
Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada
18/06/2024
|
Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.
Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%
18/06/2024
|
L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.
