Cela dit, le pdg a dit suivre l' «évolution du marché» de près et faire en sorte que la société d'État adapte ses façons de faire en fonction des meilleures pratiques. «Il n’y a pas d'enquête, ni de révision de nos pratiques (...) Mais on va continuer de suivre ça et si de nouvelles informations suggéraient que l’on devrait améliorer nos pratiques, on va le faire», a répondu M. Vandal.
Prudent, ce dernier a fait remarquer qu'Hydro-Québec est une grande organisation et qu'elle ne pouvait, dans les circonstances, surveiller chacun de ses employés. « Est-ce que quelqu'un a pu mal agir? Ça se peut. Mais si cela s'avérait, ce qui ne semble pas le cas, nous prendrions les mesures qui s'imposent comme par le passé.»
Enfin, contrairement à certaines municipalités, le numéro un d'Hydro-Québec a déclaré n'avoir remarqué aucune réduction des tarifs pour les services offerts par les sociétés de génie-conseil de la province depuis les débuts des travaux de la Commission Charbonneau.
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