Ce dernier a voulu relativiser les choses en affirmant que Yellow Media est la dernière de son secteur à être passé par l’étape de la restructuration. « Tout le monde aurait souhaité ne pas se rendre à cette étape. Mais historiquement, nous avons toujours été les plus conservateurs(sic), avec le plus bas niveau d’endettement de notre industrie. Tous les autres sont passés par là, nous sommes les derniers à le faire. Ce plan nous donne du temps pour compléter notre transformation », a-t-il indiqué.
Avec 30 % de ses revenus provenant du numérique, de nouveaux produits dans ce segment de ses activités et sa position de plus gros revendeur publicitaire pour les Google, Yahoo et Bing de ce monde, M. Tellier reste confiant.
« Il y a beaucoup de pain sur la planche, mais c’est une étape importante pour avoir la flexibilité nécessaire pour continuer nos transformations », a précisé le principal dirigeant de Yellow Media.
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