Le Syndicat des journalistes des Hebdos Transcontinental (CSN) prétend que les difficultés de l'entreprise ne l'ont pourtant pas empêchée d'embaucher huit cadres, qui seraient appelés "chefs de pupitre" et qui travailleraient dans les différents bureaux syndiqués des journaux.
Le virage Internet de Transcontinental poserait aussi plusieurs problèmes.
Le syndicat souligne que la convention collective est échue depuis le début septembre.