Dans un communiqué diffusé vendredi, la direction du Journal soutient que "dans une société démocratique dont un des fondements est le respect des lois", elle n'a eu "d'autre choix que d'entreprendre les recours appropriés".
Au cours d'un entretien téléphonique, Isabelle Dessureault, porte-parole de Quebecor Media, propriétaire du Journal, a expliqué que l'entreprise souhaitait éviter une "récidive".
Selon Quebecor, l'intrusion visait à "intimider" les cadres du quotidien.
Le Journal a mis en lock-out les 253 membres du Syndicat des travailleurs de l'information il y a un peu plus de six mois.