Autre pavé dans la mare : Boris Johnson veut qu’on laisse les banques de sa ville tranquilles. Loin de critiquer les institutions financières qui ont provoqué la dernière crise économique mondiale, le maire, proche du Parti conservateur au pouvoir au Royaume-Uni, invite plutôt les autorités britanniques et européennes à cesser de leur nuire. «Nous devons arrêter de cogner sur les industries dans lesquelles nous sommes forts.»
Questionné par un journaliste qui voulait savoir si Boris Johnson comptait profiter de sa grande popularité pour tenter sa chance à la tête du Parti conservateur, il a répondu par une autre boutade : «Qui sait ce qui peut se passer après mon mandat, en 2016… Rien n’est impossible», a-t-il dit. «Chose certaine, je ne peux pas devenir pape, je ne suis même pas catholique !»