Immobilier: les prix poursuivent leur ascension au Québec

Publié le 12/01/2012 à 09:01, mis à jour le 12/01/2012 à 10:27

Immobilier: les prix poursuivent leur ascension au Québec

Publié le 12/01/2012 à 09:01, mis à jour le 12/01/2012 à 10:27

Par lesaffaires.com

 

Quatrième trimestre

Par ailleurs, selon les données publiées jeudi matin par le courtier Royal Lepage, le prix d’une maison individuelle de plain-pied a augmenté de 3,7 % à Montréal au quatrième trimestre de 2011, comparativement au même trimestre de 2010. À l’échelle nationale, la hausse a été de 6,1 %, propulsée par l’augmentation de 14,1 % à Vancouver.

Le prix moyen d'une maison standard de deux étages a augmenté de 0,2 %, pour s'établir à 362 000 $. Les copropriétés se vendent 4,8 % plus cher qu'à la même période en 2010, soit à un prix moyen de 239 000 $.

Le prix moyen d’une habitation au Canada a augmenté entre 3,6 % et 6,1 % au quatrième trimestre de 2011, selon le type de propriété.

Royal Lepage prévoit que les prix moyens augmenteront de 2,8 % au pays en 2012. Le courtier anticipe toutefois que le marché immobilier montréalais sera plus équilibré pour la prochaine année et que le prix des maisons se stabilisera.

Le prix des maisons devrait continuer de croître en 2012, mais l’augmentation sera modeste, soit d’environ 1,3 %. « Les prix ont connu une augmentation agressive au début de 2011. Plus l’année avançait, plus l’augmentation a ralenti, c’est ce qui se poursuivra en 2012 », dit Dominic St-Pierre, directeur des services immobiliers Royal LePage pour la région du Québec.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.