Un vent d'entrepreneuriat

Publié le 18/12/2010 à 00:00, mis à jour le 07/01/2011 à 14:38

Un vent d'entrepreneuriat

Publié le 18/12/2010 à 00:00, mis à jour le 07/01/2011 à 14:38

Par Suzanne Dansereau
Un rapport d'étape sera publié en février ; le rapport final n'arrivera qu'en novembre. Chose certaine, il y a urgence d'agir, indique le président de la Commission, Gilles Demers, ancien sous-ministre des Finances et du Développement économique. En effet, bien que le déclin démographique soit répandu en Occident, le phénomène au Québec a ceci de particulier qu'il sera brutal et rapide. La commission a le mandat de proposer des mesures incitatives concrètes et de revoir l'épargne des Québécois.

Formation de la main-d'oeuvre

En amont du marché du travail, le gouvernement s'est donné deux missions pour 2011 à la suite de ses rendez-vous sur l'Éducation. La première : revoir le financement des universités, en plus de hausser les droits de scolarité des étudiants.

De nouvelles méthodes de financement, comme des incitatifs fiscaux pour les donateurs, pourraient voir le jour. Cependant, " il faut d'abord s'assurer que ce nouvel argent sera bien dépensé ", plaide Dave Leclerc, le porte-parole de la ministre de l'Éducation Line Beauchamp.

Deuxième mission : mener, auprès des entreprises de toutes les régions du Québec, une consultation sur la formation de la main-d'oeuvre. Il s'agit de trouver des solutions pour mieux arrimer les programmes de formation existants aux besoins des entreprises, dit M. Leclerc.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.