Ottawa devra mettre plus d'argent pour l'eau potable des Autochtones, conclut le DPB

Publié le 01/12/2021 à 12:30

Ottawa devra mettre plus d'argent pour l'eau potable des Autochtones, conclut le DPB

Publié le 01/12/2021 à 12:30

Par La Presse Canadienne

Le gouvernement a admis l’an dernier que cet objectif ne serait pas atteint. (Photo: La Presse Canadienne)

Ottawa — Le directeur parlementaire du budget affirme que le gouvernement fédéral devrait augmenter les enveloppes prévues pour fournir de l’eau potable aux Premières Nations.

Le rapport d’Yves Giroux admet que le gouvernement a mis de côté suffisamment d’argent pour construire des systèmes d’aqueduc et d’égout au cours des cinq prochaines années.

Là où le gouvernement échoue, toutefois, c’est dans le soutien financier à l’exploitation de ces systèmes, ce qui, selon le DPB, nécessiterait un financement fédéral supplémentaire de 138 millions $ par année.

Lors de la campagne électorale en 2015, les libéraux avaient promis de mettre fin à tous les avis d’ébullition de l’eau dans les communautés autochtones au cours des cinq années suivant leur élection, un échéancier qui aurait donc dû être respecté cette année.

Mais le gouvernement a admis l’an dernier que cet objectif ne serait pas atteint, invoquant notamment la pandémie et l’éloignement de ces communautés, entre autres facteurs.

Dans son rapport, publié mercredi, le bureau de M. Giroux prévient que plus il faudra de temps pour remplir cet engagement, plus cette entreprise risque de coûter cher. 

 

 

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.