Ces mesures limiteront également la tendance à générer des excédents et des déficits importants dans le compte des opérations de l'assurance-emploi, a précisé l'OFAEC.
Les changements imposent un plafond maximal de cinq cents aux augmentations jusqu'à ce que le compte des opérations soit équilibré. Une fois cet objectif atteint, les augmentations auront lieu annuellement à un taux visant un équilibre sur sept ans, pour s'assurer qu'elles ne soient pas plus élevées que nécessaire.
Le rapport note qu'il y a eu une diminution significative des dépenses nettes pour le programme d'assurance-emplois depuis 2009, essentiellement parce que le nombre de chômeurs a chuté de 9,7 pour cent depuis 2009. Elles devraient passer 23 milliards $ à 20,4 milliards $ en 2013, selon ces prévisions.
"Nous croyons qu'une fois mis en place, le nouveau taux d'équilibre selon un cadre prospectif de sept ans améliorera la stabilité et la prévisibilité des taux de cotisation", a déclaré dans un communiqué le président de l'OFAEC, David Bown.