Une première femme et autochtone à la tête de la FTQ en novembre?

Publié le 31/05/2022 à 11:46

Une première femme et autochtone à la tête de la FTQ en novembre?

Publié le 31/05/2022 à 11:46

Par La Presse Canadienne

Magali Picard, ancienne vice-présidente exécutive nationale de l’Alliance de la fonction publique du Canada — le grand syndicat pancanadien de fonctionnaires fédéraux — a confirmé son intérêt pour le poste. (Photo: La Presse Canadienne)

La plus grande centrale syndicale du Québec, la FTQ, pourrait bien avoir à sa tête une femme autochtone, dans les prochains mois.

Il s’agirait de la première femme à diriger la centrale syndicale québécoise de plus de 600 000 membres.

Magali Picard, ancienne vice-présidente exécutive nationale de l’Alliance de la fonction publique du Canada — le grand syndicat pancanadien de fonctionnaires fédéraux — confirme en effet son intérêt pour succéder à l’actuel président de la FTQ, Daniel Boyer.

M. Boyer a annoncé à la mi-mai qu’il ne solliciterait pas de renouvellement de mandat, lors du congrès de la centrale syndicale, en novembre prochain.

Mme Picard est connue dans tout le Canada pour avoir mené une longue bataille contre les ratés du système de paie Phénix, notamment. Elle a aussi milité pour accroître la présence des femmes dans le milieu syndical.

Fait moins connu, Mme Picard est aussi autochtone, «une fière Wendate de Wendake», a-t-elle confié en entrevue avec La Presse Canadienne mardi.

Pour le moment, elle est la seule candidate en lice. Les intéressés peuvent toutefois encore se manifester d’ici novembre.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.