Suite au Krach boursier, les Canadiens sont-ils soucieux pour leurs retraites ? Un peu, mais suffisamment pour leur faire oublier le quotidien. Ainsi se préoccupent-ils davantage de l'impôt foncier et l'impôt sur le revenu (39 %) et des fluctuations des devises (39 %) que des faibles rendements des marchés boursiers (38 %).
D'après le sondage, la volatilité des marchés boursiers n'a pas freiné la détermination des Canadiens à rester fidèles à leurs plans d'épargne-retraite. En effet, deux investisseurs sur trois ont l'intention de cotiser autant ou davantage que l'année dernière.
«La meilleure façon d'atténuer le risque lorsque l'on établit sa stratégie d'épargne-retraite, c'est de travailler avec un planificateur financier». explique Claude Paquin, vice-président principal, Québec, au Groupe Investors.
S’ils cotisent toujours autant, les Canadiens sont maintenant convaincus d’une chose : ils prendront leur sa retraite plus tard que prévu. Surtout les Canadiens dans la tranche d’âge de 60-64 ans où ils sont près de la moitié à envisager un prolongement de la vie active.
Les REER ont toujours la cote
Publié le 06/11/2008 à 00:00
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