Cela s'explique en partie par leurs salaires plus élevés, mais également et surtout par les sommes consacrées à la recherche et développement, leur niveau de productivité plus élevé que la moyenne, et le fait que leurs investissements soient plus fréquents et importants que la moyenne.
Montréal International estime d'ailleurs que le tiers des investissements privés en immobilisation non résidentiels entre 2004 et 2011 provenaient d'entreprises étrangère.
En 2010 seulement, Montréal International estime avoir contribué à la mise en place de 28 projets d'investissement étranger, pour un total de 576M$.