Entente Québec-Quebecor : les contribuables prennent toujours un risque

Publié le 01/03/2011 à 15:09, mis à jour le 01/03/2011 à 18:18

Entente Québec-Quebecor : les contribuables prennent toujours un risque

Publié le 01/03/2011 à 15:09, mis à jour le 01/03/2011 à 18:18

Par lesaffaires.com

Spectacles

Si l’idée du retour des Nordiques fait vibrer les adeptes du sport national dans la région, le projet est également intéressant pour le développement d’activités culturelles, a rappelé M. Péladeau. Quebecor souhaite que la salle puisse accueillir les grandes tournées nord-américaines qui s’arrêtent dans la plupart des cas seulement à Montréal.

«Les gens de Québec doivent voyager plus de deux heures pour voir leur groupe préféré, a dit M. Péladeau. Ils n’auront plus à le faire. Nous souhaitons même renverser le trafic pour que les spectateurs montréalais viennent à Québec.»

Quebecor n’a pas précisé si une entité serait créée pour attirer des spectacles dans la Ville. «L’important, c’est que le travail soit fait, a répondu M. Péladeau. Ce n’est pas important de savoir qu’elle sera le nom de l’entité qui en serait responsable.»

Le conglomérat médiatique serait assez puissant pour attirer les artistes, selon M. Péladeau. Il a donné en exemple la participation de la chanteuse américaine Lady Gaga à Star Académie, l’une des émissions les plus populaires de la chaîne TVA.

À la bourse de Toronto, l'action de Quebecor a clôturé à 34,90$, en baisse de 0,99%. Celle du Groupe TVA a terminé à 13,63$, en hausse de 4,85%. 

 

 

 

 

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.