"Son discours, a été fortement applaudi", plus que son arrivée a indiqué un autre témoin.
"Il a été très au-delà de ce qu'on pouvait attendre", a-t-il ajouté, relevant la "contrition" de celui qui avait pris la tête du FMI à l'automne 2007.
M. Strauss-Kahn a également estimé qu'on ne pouvait lui "trouver meilleur successeur" que Christine Lagarde (qui a pris la tête du Fonds en juillet), et "pas uniquement parce qu'elle est Française".
La presse n'avait pas été autorisée à assister au retour de M. Strauss-Kahn au FMI.
Comme seul commentaire, un porte-parole du Fonds a indiqué que Mme Lagarde avait "rencontré brièvement" son prédécesseur avant que celui-ci ne s'adresse aux employés.
M. Strauss Kahn a encore estimé que le Fonds avait "un rôle important à jouer": "Je ne suis pas trop optimiste pour ce qui va arriver [...] raison pour laquelle le rôle du FMI sera essentiel dans les mois qui viennent."
Selon un photographe de l'AFP, M. Strauss-Kahn est reparti du FMI en compagnie de Mme Sinclair au volant d'une Audi noire, environ deux heures après son arrivée. Il avait indiqué vendredi avoir "hâte" de rentrer en France.