«Si une licence de Target n'intéresse pas Loblaw, l'épicier pourrait faire entrer les magasins Primark au Canada ou les jumeler avec ses épiceries au rabais No Frills», échafaude M. Caicco.
Une troisième stratégie consisterait à réunir Joe Fresh, Loblaw et Shoppers dans un magasin hybride. L'assortiment s'adapterait aux restrictions de chacun des baux, à la démographie et à la concurrence locales, ainsi qu'à la proximité d'autres Loblaw.
«Stratégiquement, ce serait une occasion fascinante pour Loblaw d'ajouter 4 à 5 G$ à ses revenus, tout en créant une nouvelle expérience de magasinage.»
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