Baisse de 20% des profits de Richelieu

Publié le 09/07/2009 à 00:00

Baisse de 20% des profits de Richelieu

Publié le 09/07/2009 à 00:00

Par Olivier Schmouker
Pour les six premiers mois terminés le 31 mai, le bénéfice net de Richelieu s'est établi à 11,6 millions de dollars, ou 0,53 dollar par action, sur des ventes de 204,2 millions de dollars. Il avait été de 15,7 millions de dollars, ou 0,68 dollar par action.

Ces résultats résultent du ralentissement qui affecte le marché de la rénovation résidentielle et commerciale aux Etats-Unis ainsi qu'au Canada, selon la direction de Richelieu.

«Malgré un contexte économique contraignant, nous continuons de créer de la valeur à long terme. Le 1er juin, nous avons ouvert deux centres de distribution aux Etats-Unis, à Louiseville (Kentucky) et à Cincinnati (Ohio) afin d'accroître notre rayon d'action», dit Richard Lord, président et chef de la direction, de Richelieu.

Chute de 22% des ventes aux États-Unis

Au Canada, Richelieu a réalisé des ventes de 92 millions de dollars, en baisse de 3,8% sur celles du deuxième trimestre de 2008. Cela reflète une décroissance interne de 4,5%, alors que la croissance provenant de l'acquisition d'Acroma a été de 0,7%.

Ce fléchissement a été causé principalement par un ralentissement plus marqué dans les marchés de l'Ouest et du Centre canadiens. Les ventes réalisées au Canada ont représenté 84% des ventes consolidées du trimestre.

Aux Etats-Unis, les ventes se sont établies à 14,8 millions de dollars américains, en chute de 22% en un an.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.