Saputo achète la tour CIBC

Publié le 02/10/2008 à 00:00

Saputo achète la tour CIBC

Publié le 02/10/2008 à 00:00

Avec cette acquisition, Jolina Capital, la société d'investissement des Saputo, s'impose comme un des rares propriétaires immobiliers à pouvoir rivaliser avec la Caisse de dépôt et placement du Québec dans le centre-ville de Montréal.

Avec leurs partenaires, Giuseppe Borsellino et Vincent Chiara, les Saputo sont déjà propriétaires de la tour de la Bourse et des immeubles du 1060 et du 1100, rue University.

Jolina détient l'immeuble à 50 %; Giuseppe Borsellino (Groupe Pétra) a 30 % de la propriété et Vincent Chiara (Groupe Mach), 20 %.

" On veut effectuer des rénovations majeures pour que la tour garde son statut de classe A ", dit M. Chiara, gestionnaire d'actifs pour Jolina. Au cours des quatre prochaines années, 5 millions de dollars seront investis dans l'immeuble de 565 000 pieds carrés.

Jolina et ses partenaires paient " plus de 100 millions " pour l'immeuble construit en 1962, précise M. Chiara.

La Ville de Montréal évaluait le gratte-ciel à 82,5 millions de dollars dans la dernière évaluation municipale.

La tour CIBC, située au 1155, boulevard René-Lévesque Ouest, a été mise en vente il y a près d'un an par BC Investment Management Corporation, la caisse de retraite des employés du gouvernement de la Colombie-Britannique.

Les trois locataires principaux du gratte-ciel, la Banque CIBC et les cabinets d'avocats Stikeman Elliott et Miller Thomson, occupent 70 % de l'immeuble.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.