Il fait bon vivre à Montréal, selon Monocle

Publié le 31/07/2009 à 00:00

Il fait bon vivre à Montréal, selon Monocle

Publié le 31/07/2009 à 00:00

Classée au 19e rang, en recul de trois positions par rapport à l'an dernier, Montréal séduit le jury du magazine par sa joie de vivre, son faible coût de la vie et l'ouverture d'esprit de ses habitants.

La métropole québécoise se classe derrière Vancouver, classée en 14e position. Toronto ne figure pas au palmarès, non plus qu'aucune ville américaine, à l'exception d'Honolulu, au 11e rang.

"C'est toujours sympathique de bien paraître dans ce genre de palmarès. C'est bon pour la notoriété de la ville, mais les retombées touristiques directes sont limitées", indique Paul Arseneault, directeur du Réseau de veille de la Chaire de tourisme Transat de l'ESG-UQAM.

Pour établir son palmarès, la rédaction de Monocle a notamment tenu compte du réseau de transport en commun, de l'infrastructure publique, de la criminalité, de la vie culturelle et... des heures d'ensoleillement !

Le magazine souligne les paradoxes de la vie à Montréal. Il y est possible d'y acheter des bagels chauds en pleine nuit, mais difficile d'avoir un rendez-vous avec un médecin. Facile d'y organiser un mariage homosexuel, mais plus compliqué qu'ailleurs au Canada pour les immigrants qualifiés de trouver du travail.

Le magazine déplore l'omniprésence de l'automobile dans les rues de Montréal, mais a un bon mot pour le vélo libre-service Bixi. En conclusion, Monocle se demande quand Montréal, qui compte de nombreux architectes de qualité, se dotera enfin d'un immeuble-phare.

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