Selon le magazine spécialisé "Automotive News Europe", les usines Opel d'Anvers, en Belgique, Vauxhall d'Ellesmere Port, au Royaume-Uni, et peut-être une autre en Allemagne sont les plus menacées.
Aux Etats-Unis, General Motors a jusqu'à mardi pour soumettre au gouvernement américain des documents d'étape expliquant pourquoi l'Etat fédéral a eu raison de le soutenir financièrement et l'empêcher de faire faillite.
Les constructeurs GM et Chrysler ont bénéficié de prêts gouvernementaux d'un montant total de 13,4 milliards de dollars (10,5 milliards d'euros) afin de garder la tête hors de l'eau pendant qu'ils se restructuraient, mais ces prêts peuvent leur être retirés s'ils ne présentent pas un programme stratégique suffisamment solide d'ici au 31 mars. Ce serait alors très probablement la fin des deux géants américains.