Ces décisions auront pour effet de réduire ou d’annuler les augmentations de salaire et les primes potentielles en 2009.
Selon le sondage, les entreprises privilégient cette approche ciblée visant de postes de dépenses discrétionnaires plutôt que de recourir à des réductions massives de la main-d’œuvre.
«C'est une tâche délicate que de maintenir l'équilibre entre l'obligation de réduire les coûts à court terme et la nécessité de conserver les talents de l'entreprise, qui lui permettront de se redresser et de bâtir sa santé financière à long terme», explique Claude Boulanger, sociétaire chez Towers Perrin.
Le sondage a été mené en janvier auprès de 246 entreprises canadiennes de toutes tailles et de divers secteurs d’activité.