"Avec un PIB qui devrait décliner d'environ 4 à 5% l'année prochaine (...) et une cohésion sociale mise à l'épeuvre par des nouvelles mesures d'austérité, les risques sur le plan d'aide de l'UE et du FMI resteront importants", souligne l'IIF.
Il émet aussi des réserves sur la capacité du pays à redevenir solvable, en dépit de l'effacement prévu de 20 milliards d'euros de créances grâce à l'opération de rachat de dette et d'une série de mesures de soutien décidées par la zone euro.
"Les doutes sur la viabilité de la dette persisteront tant que la croissance ne sera pas de retour", affirme l'IIF.