La Finlande, la France et la Hongrie viennent d’instaurer des taxes sur les aliments et boissons néfastes pour la santé. Ces taxes sur le gras et le sucre ont pour objectif de faire évoluer les habitudes alimentaires tout en générant des recettes pouvant être utilisées pour soutenir d’autres programmes de santé publique et de prévention.
Par ailleurs, on compte désormais bien plus de spécialistes que de généralistes dans quasiment tous les pays d’Europe, en raison du désintérêt pour la médecine familiale et d’un écart de rémunération croissant entre les uns et les autres. Une situation qui suscite des craintes quant à l’accès de la population aux soins primaires.