Développer ses affaires au pays d'Oncle Sam

Publié le 30/06/2010 à 14:45

Développer ses affaires au pays d'Oncle Sam

Publié le 30/06/2010 à 14:45

Photo : Simon Lacroix

Percer le marché américain n’est pas facile, mais faisable. Ce que les exportateurs oublient souvent, c’est que chaque état possède ses propres exigences en matière réglementaire. « Plus il y a d’États, plus il y a de paperasses. Mais si tu es bien préparé, le processus n’est pas si complexe», explique Simon Lacroix, président de Summum Woodwork.

Présente sur le marché américain depuis la fondation de l’entreprise en 1999, Summum Woodwork, une entreprise québécoise spécialisée dans l’ébénisterie architecturale, a acquis une solide expérience du pays de l’Oncle Sam. L’entreprise ayant réalisé de nombreux projets dans divers États.

L’entreprise québécoise vient d’ailleurs de percer un nouveau marché, celui de New York. « C’est un marché fort convoité et avec un potentiel immense. Nous avons travaillé deux ans avant d’obtenir un premier contrat à New York. Ça n’a pas été facile, mais ça nous a permis d’avoir un pied dans la porte. C’est d’ailleurs la première question qu’on se fait toujours poser : avez-vous déjà fait des contrats sur l’île de Manhattan ».

Maintenant, Simon Lacroix peut se vanter que oui.

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