Une autre motivation se cache derrière la popularité grandissante des placements alternatifs. «Depuis deux ans, les clients fortunés s'interrogent de plus en plus sur la capacité future des marchés traditionnels des actions et des obligations à procurer un rendement adéquat», explique M. Roch.
Chez Blue Bridge, les biens tangibles, de l'immobilier aux fermes, en passant par les forêts et même les oeuvres d'art, représentent environ 10 % de l'ensemble des portefeuilles.
La firme a même créé sa collection d'arts de peintres québécois il y a un an, pour se bâtir un savoir-faire et un réseau d'experts. «Nos clients ne peuvent pas y investir, mais l'expertise et le réseau peuvent être mis au service des clients qui le désirent», dit M. Roch.