Malgré cet optimisme, le coût de leur habitation semble lourd à porter et de simples changements des conditions du marché mettront bien des projets en veilleuse. Déjà, les répondants sont 34% à avoir réduit leurs achats pour régler leurs mensualités.
Le quart ont réduit leur épargne dans le même but. Ils sont 17% à avoir puisé dans leur économie pour payer leur mensualité.
La progression des prix ralentirait l’ardeur des acheteurs. Si les prix augmentent de 5%, ce ne serait plus 46% des répondants qui songerait à acheter, mais bien 36%.
Même s’ils sont 92% à croire que l’endettement des ménages est un problème sérieux au Canada, 19% croient qu’ils ne sont pas affectés par cette problématique.