Un employeur a le choix de faire venir un travailleur doté d'un permis de travail temporaire (un, deux ou trois ans) ou permanent. Comme la plupart des entreprises ont besoin de pourvoir un poste vacant rapidement, elles choisissent le permis temporaire, dont les procédures sont moins longues. Une fois sur place, le travailleur peut faire les démarches pour renouveler son permis de travail et demander sa résidence permanente. En 2012, une procédure simplifiée a été mise en place pour 44 professions dont manque particulièrement le Québec (gestionnaires de système informatique, ingénieurs civils, adjoints de direction, machinistes, etc.). Les employeurs de ce type de professionnels ne sont plus tenus d'afficher l'offre d'emploi. De plus, les dossiers de ces travailleurs peuvent être envoyés dans leur globalité au MICC au lieu d'être transmis en partie au fédéral et en partie au provincial, comme l'exige la procédure «normale», et ils sont traités en priorité. Ainsi, les délais sont raccourcis. Dans ce cas, ne pas oublier d'inscrire «traitement simplifié» sur le dossier transmis au MICC, précise Véronique Jannard, spécialiste du programme des travailleurs temporaires au Ministère. À noter : un stagiaire venant de l'étranger doit lui aussi avoir un permis de travail temporaire en règle, même s'il n'est pas rémunéré pendant son stage au Québec.
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