Simuler pour mieux comprendre

Offert par Les Affaires


Édition du 15 Novembre 2014

Simuler pour mieux comprendre

Offert par Les Affaires


Édition du 15 Novembre 2014

Visuels de simulation

Très près de la réalité

Les concepteurs ont créé des scénarios pour les policiers, les chauffeurs de poids lourds et même les opérateurs de machinerie dans les aéroports. Tout cela en offrant aussi une installation proche de la réalité. Pour les autos de patrouille, par exemple, les spécialistes de Simleader ont adapté un véritable tableau de bord de Chevrolet Impala et y ont greffé tous les instruments de communication policière.

Mieux encore, les sièges, aussi tirés d'une véritable voiture, sont montés sur des activateurs électroniques qui simulent tous les mouvements. Devant l'élève, trois écrans affichent le décor. Derrière, trois autres écrans détaillent les angles morts. Un rétroviseur est même logé au centre du simulateur, comme dans une voiture.

«Nous créons des scénarios sur mesure, et nous pouvons simuler au besoin des conditions hivernales ou une pluie diluvienne, précise Guy Lussier. On peut aussi connecter jusqu'à 15 simulateurs ensemble, et le moniteur peut se greffer à l'ensemble pour créer l'illusion de la circulation urbaine.»

«Nous savons que les simulateurs ne remplacent pas totalement la conduite sur route. Mais nous sommes convaincus qu'ils ajoutent une expérience indispensable. Dommage que les cours de conduite québécois ne les reconnaissent pas», conclut Guy Lussier.

Cliquez ici pour consulter le dossier Des usines à la fine pointe

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.