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Comédiens et humoristes américains ont découvert un nouveau filon: la récession.
Dans ces temps très difficiles pour le portefeuille et le moral de nos voisins du Sud, l'humour devient un exutoire. Car mieux vaut rire de ses malheurs que d'en pleurer, comme le montre un article du journal Christian Science Monitor.
"Plus les choses vont mal, plus les Américains ont besoin d'en rire", souligne ce journal en ligne.
Une des explications : les gens touchés se sentent moins seuls dans leur malheur. Et les bas coûts d'entrée dans ces clubs ou l'on pratique ce que les Allemands appellent l'humour de potence y serait aussi pour quelque chose.
Alors... une dernière pour la route? La voici. "Quelle est la différence entre une banquier d'investissement et une pizza? Hé bien, la pizza peut, elle, nourrir une famille de cinq..."
