"Si on commence à avoir des informations positives sur l'Iran (c'est-à-dire en faveur d'une détente), la tension va se réduire et l'attention va se porter à nouveau sur la demande dans les pays Européens et ici aux Etats-Unis" ce qui devrait faire reculer les cours, a dit M. Smith.
Sur le front américain, "les chiffres sur les inscriptions au chômage hier soutiennent également les cours", a remarqué John Kilduff, d'Again Capital.
Les nouvelles inscriptions au chômage ont atteint la semaine dernière leur niveau le plus bas depuis mars 2008, témoignant de la reprise économique du premier pays consommateur de brut.
En outre, la hausse de l'inflation aux Etats-Unis conduisait le marché à tabler sur une hausse des cours, les prix à la consommation ayant connu en janvier leur hausse la plus forte en quatre mois.
Toutefois, a noté M. Kilduff, le WTI "est arrivé à un stade de résistance technique", ce qui devrait désormais freiner sa hausse.