Autre exemple des privilèges des gros investisseurs: certains d'entre eux, triés sur le volet, ont eu la possibilité dès janvier 2011 d'acheter des parts dans la participation d'un demi-milliard de dollars que Goldman Sachs avait acquise dans Facebook.
Pour Gregori Volokhine, "tout ça ne devrait pas être normal, si on veut que les gens fassent confiance aux marchés boursiers. C'est un nouveau coup porté" à la réputation de Wall Street.