Croissance québécoise, économie américaine, actualité : que pense l'économiste moyen?

Publié le 15/11/2010 à 18:42, mis à jour le 16/11/2010 à 13:50

Croissance québécoise, économie américaine, actualité : que pense l'économiste moyen?

Publié le 15/11/2010 à 18:42, mis à jour le 16/11/2010 à 13:50

Par Stéphane Rolland

Photo : Bloomberg

L’économiste québécois moyen ne croit pas à une récession imminente, même s’il est moins optimiste. Il s’oppose aussi à l’abolition du formulaire de recensement long obligatoire de Statistique Canada, au financement d’un nouvel amphithéâtre à Québec. Il souhaite aussi un moratoire sur l’exploitation des gaz de schiste.

C’est ce qui ressort du dernier sondage qu’a effectué l'Association des économistes québécois (ASDEQ) auprès de ses membres. Le sondage portait sur les traditionnelles prévisions économiques ainsi que sur les dossiers les plus discutés de l’actualité. Des 600 membres de l’association, 198 ont répondu au sondage.

Même s’ils sont 70% à prévoir que l’économie se maintiendra au cours des six prochains mois, les répondants ont donné leurs réponses les plus pessimistes de l’année. Deux autres sondages ont été effectués cette année : l’un en juillet et l’autre en mars.

Le pourcentage des répondants qui croient à une détérioration de l’économie est passé de 3% en mars à 7% en juillet et à 12% en novembre. Ceux qui croient à une amélioration sont, quant à eux, moins nombreux. En mars, ils étaient 45% pour passer à 32% en juillet. Ils sont maintenant 17% à croire à une embellie.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.