Depuis le début de 2017, la consommation discrétionnaire est l'un des deux seuls secteurs qui ont un meilleur rendement à la Bourse de Toronto qu'à la Bourse de New York, note Brian Belski, de BMO Marchés des capitaux. Les évaluations au Canada se trouvent ainsi près d'un sommet cyclique. Le stratège pense donc qu'il y a davantage d'occasions au sud de la frontière dans ce secteur d'activité. À Wall Street, il constate que l'évaluation de 9 des 12 industries de ce secteur (hôtels, médias, etc.) est inférieure à l'ensemble du marché boursier. Malgré la généralisation de ces faibles multiples, un pari indiciel ne serait pas avisé, prévient M. Belski. Les pièges destructeurs de valeur sont nombreux, selon lui. En effet, 54 % des titres américains de la consommation discrétionnaire sous-performent dans le secteur, une indication du nombre élevé d'entreprises qui éprouvent des difficultés.
- Accueil
- Bourse
- Mes finances
-
Blogues
- Blogues
- John Plassard
- Josée Méthot
- Zoom sur le Québec
- Dominique Beauchamp
- Denis Lalonde
- Marine Thomas
- Le blogue de Jean-Paul Gagné
- François Normand
- Mathieu Blais
- Tommy Ouellet
- Nicolas Duvernois
- Philippe Leblanc
- Pierre Cléroux
- Dany Provost
- Jean Sasseville
- Gabriel Fortin
- Jenny Ouellette
- Martin Lalonde
- Mia Homsy
- Manuel St-Aubin
- Magali Depras
- Dans la mire
- Louise Champoux-Paillé
- Gabriel Marcu
- Techno
- stratégie
- Dossiers
- Événements
-