Propulsée par une acquisition, Amaya sort de l'indice
Thérapeutique Knight (Tor., GUD, 6,49 $) entre aussi dans l’indice. C’est la filiale de Laboratoires Paladin distribuée aux actionnaires de Paladin en mars 2014.
La société est dirigée par Jonathan Ross Goodman, l’artisan du succès phénoménal de Laboratoires Paladin, dont l’action a explosé de 1,50 à 142 $ en 19 ans, avant d’être vendue à Endo Health pour 3,2 milliards de dollars.
Knight vise encore une fois à acheter des droits de distribution de produits pharmaceutiques spécialisés et à les mettre en valeur en optimisant leur mise en marché.
Onze autres sociétés sortiront de l’indice, parce qu’ils ne rencontrent plus les critères d’admission.
Avec sa valeur boursière de 4,4milliards de dollars, le Groupe de jeux Amaya (Tor., AYA, 34,49 $) est devenu trop imposant pour faire partie de l’indice, dont la valeur maximum est 2,2 milliards.
En achetant Rational Group, exploitant du site de poker en ligne PokerStars et Full Tilt Poker, pour 4,9 milliards de dollars américains, Amaya décuple ses revenus à 1,8 milliard de dollars.
Pour bâtir son indice, BMO Marchés des capitaux choisit les 400 titres de l’indice principal S&P/TSX dont la valeur boursière individuelle équivaut à moins de 0,1 % de celle de l’indice.
Les titres doivent aussi enregistrer un volume de négociations d’au moins 12 millions de dollars, au cours des 12 mois précédant son inclusion dans l’indice.