Titres à surveiller : Verizon, Colgate-Palmolive et TransForce

Publié le 03/07/2013 à 11:27, mis à jour le 03/07/2013 à 11:41

Titres à surveiller : Verizon, Colgate-Palmolive et TransForce

Publié le 03/07/2013 à 11:27, mis à jour le 03/07/2013 à 11:41

Par Stéphane Rolland

[Photo : Bloomberg]

Que faire avec les titres de Verizon, Colgate-Palmolive et TransForce? Voici quelques recommandations d’analystes susceptibles de faire bouger les cours prochainement. Note : les commentaires choisis ne reflètent pas l’opinion de l’auteur.

Verizon (NY., VZ, 50,63 $US)

Les analystes sous-estiment de moitié les coûts que paie Verizon quand ses abonnés utilisent leur téléphone au Canada, croit Kevin Manning, de BMO Marchés des capitaux.

Les frais d’itinérance permettent à un abonné d’utiliser son téléphone cellulaire dans un autre réseau que dans la zone desservie par son fournisseur. M. Manning croit que la société de télécommunication américaine a payé entre 300 M $US et 350 M $US en 2012 pour les frais d’itinérance.

Ces mêmes frais ont d’ailleurs justifié l’entrée de Verizon en Alaska. La société a payé près de 55 M $US à ses partenaires dans l’État américain nordique en 2012.

M. Manning pense que Verizon gagnerait à percer le marché canadien. Les économies réalisées permettront à elles seules d’ajouter entre 0,06 et 0,10$ au bénéfice par action. Au total, le lancement des activités canadiennes augmenterait le bénéfice par action d’entre 0,33 $US et 0,91 $US annuellement. En 2012, le profit par action était de 2,25 $US.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.