Brian Wieser dit lui aussi être sorti de la rencontre avec une impression positive. Il croit cependant que Twitter s'adresse davantage à un marché de niche.
L'analyste écrit que ses prévisions de revenus de 6,6 G$ US pour 2019 (Twitter croit qu'elle se rendra à 11 G$ US à ce moment) demandent déjà un acte de foi important. Si cette cible est atteinte, la société sera déjà devenue l'une des plus grandes entreprises publicitaires du monde. Une construction qui ne sera pas facile dans un contexte concurrentiel qui s'accentuera, notamment en raison du développement de Facebook et de Google.
M. Wieser maintient une recommandation «conserver». Il établit une cible de 42 $ US.
Barclays Capital se montre optimiste à long terme
Paul Vogel croit que la direction a fait un très bon travail de mise en valeur des retombées d'annoncer sur Twitter. Elle a aussi présenté sa vision pour remédier à la faible croissance de son nombre d'abonnés.
Bien qu'il soit optimiste, l'analyste pense qu'il y aura du scepticisme à l'égard de la capacité de l'entreprise à faire croître le nombre d'usagers mensuels significativement.
L'analyste recommande de surpondérer le titre et établit une cible à 60 $ US.