Investir le monde: les choix de quatre as de la bourse


Édition du 29 Novembre 2014

Investir le monde: les choix de quatre as de la bourse


Édition du 29 Novembre 2014

Par Dominique Beauchamp
À mi-chemin du cycle de croissance économique, les divergences entre les politiques monétaires et la performance des Bourses continueront de s'accentuer, prévoit Patrice Quirion, gestionnaire du petit Fonds Fidelity Actions mondiales - Concentré.

«Je choisis des titres et non des pays, mais le portrait global influence tout de même où je n'investis pas. J'évite les pays qui ont des problèmes structurels», explique le jeune gestionnaire de Montréal à qui Fidelity a confié la gestion entière d'un premier fonds, il y a un an.

Par exemple, l'inévitable assainissement des mauvais prêts des gouvernements locaux et des banques en Chine comporte des risques élevés. «Les rares entreprises chinoises indépendantes du gouvernement, rentables et peu cycliques sont chèrement évaluées», indique celui qui a reçu son diplôme de HEC Montréal en 2004.

Au Brésil et en Russie, les gouvernements haussent les taux pour défendre leur monnaie, ce qui nuit à leur économie. «L'évaluation des pays émergents semble attrayante, mais le rapport risque-potentiel ne l'est pas, parce que ces pays sont à la merci des capitaux étrangers pour financer leurs déficits», dit-il.

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