«Depuis deux ans, nous avons acheté avec parcimonie et surtout diminué certains de nos placements pendant la hausse», dit-il.
Son fonds n'a aucun placement au Japon où la banque centrale tente une fois de plus d'extirper le pays de sa spirale de décroissance et de déflation avec des interventions d'une ampleur sans précédent.
«Les sociétés japonaises dominantes, soit par leur part de marché ou leur avance technologique, dégagent de très faibles rendements sur le capital et croissent bien peu depuis 5 à 10 ans», justifie-t-il.