À surveiller: Savaria, Uni-Sélect et Stelco

Publié le 21/02/2019 à 08:38

À surveiller: Savaria, Uni-Sélect et Stelco

Publié le 21/02/2019 à 08:38

Par Dominique Beauchamp

Stelco (STLC, 18,00$) : achats en vue pour l’aciérie ressuscitée

Revenue en Bourse en novembre 2017, l’aciérie centenaire qui a fait faillite deux fois mise sur des acquisitions pour la prochaine phase de sa relance.

«La société affiche le plus d’optimisme à l’égard du potentiel d’acquisition depuis son retour en Bourse. Ses liquidités nettes de 438 M$ lui donnent un sérieux avantage par rapport à ses rivaux endettés», croit Maxim Sytchev, de la Financière Banque Nationale.

À son avis, ces achats se matérialiseront plus tôt qu’on le croit.

L’analyste croit que les investisseurs ont tort de réduire les perspectives de la société à la conjoncture volatile de l’acier.

«Son évaluation d’aubaine, par rapport à ses semblables américains, est un aspect mésestimé des perspectives de placement du titre, surtout considérant l’expérience des dirigeants à déceler des actifs dévalués à saisir», renchérit-il.

D’ailleurs, la promotion interne de David Cheney à la présidence vise justement à libérer Alan Kestenbaum qui se consacrera aux acquisition, à titre de président exécutif du conseil d’administration.

«L’économie doit bien sûr coopérer, mais pour ceux qui croient que le cycle se prolonge, la valeur d’aubaine de Stelco est attrayante», dit-il.

La société et plus rentable que ses semblables, AK Steel, US Steel, Steel Dynamics, Nucor, avec une marge d’exploitation de 22,2%.

 

 

 

 

 

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.