À surveiller: Netflix, Jean Coutu et Starbucks

Publié le 18/04/2017 à 09:30

À surveiller: Netflix, Jean Coutu et Starbucks

Publié le 18/04/2017 à 09:30

Que faire avec les titres de Netflix, Jean Coutu et Starbucks? Voici quelques recommandations qui pourraient influencer les cours prochainement. Note: l'auteur peut avoir une opinion différente de celle des analystes.

Netflix (NFLX, 147,25$ US): à la fois pour les Bulls et les Bears

Deutsche Bank Securities renouvelle une recommandation "conserver".

Bryan Kraft indique que les résultats du premier trimestre sont à la fois favorables à la thèse des Bulls (optimistes) et des Bears (pessimistes).

Il note que les optimistes trouveront confort dans le fait que la direction s'attend à une croissance des abonnements supérieure à celle anticipée pour le deuxième trimestre.

SUIVRE SUR TWITTER: F_POULIOT

L'analyste juge cependant que les Bears trouveront de leur côté réconfort dans le fait que le nombre d'abonnements est plus faible que ce qui était prévu au premier trimestre et que la direction guide vers "plusieurs années de flux de trésorerie négatifs pour soutenir la croissance".

Monsieur Kraft dit continuer d'être constructif sur les perspectives à long terme de Netflix. Il estime cependant que le prix de l'action ne reflète pas correctement les investissements et les dépenses d'exploitation qui seront nécessaires pour atteindre les objectifs de croissance de la direction.

Il dit trouver le rapport risque/rendement peu attrayant.

La cible est à 125$ US.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.