Imperial Oil (IMO, 22,82$) : le temps de vendre
La pétrolière a beau avoir de bonnes liquidités et un coût de crédit peu élevé, son évaluation est devenue déconnectée du reste du marché, croit Michael Dunn, de Stifel. Il fait passer sa recommandation de « conserver » à « réduire », mais maintient sa cible à 16,50$.
Le dévoilement partiel des résultats du premier trimestre démontre que la production a été plus élevée que prévu à Kearl, ce qui fait en sorte que les flux de trésorerie ont été meilleurs que prévu.
Par contre, l’analyste souligne que la baisse du prix du pétrole fait en sorte que la valeur de l’actif net s’érode, ce qui a un impact sur les bénéfices en raison des dépréciations.
M. Dunn anticipe que la dette nette a augmenté de 500 M$ au premier trimestre et croit qu’elle progressera d’un autre 1,1 G$ au deuxième.