Angela Ahrendts a quitté Burberry pour Apple en 2013. Photo: DR
Ça y est! Plus qu'une poignée d'heures d'attente, et Apple – selon toutes vraisemblances – va enfin dévoiler sa montre intelligente, lors d'un événement gigantesque qui va se tenir au Flint Center de Cupertino, là-même où Steve Jobs avait présenté le tout premier Macintosch en 1984.
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L'Apple Watch? C'est selon les mots d'Eddy Cue, vice-président, services et logiciels Web, d'Apple, ni plus ni moins que «le meilleur produit d'Apple depuis les 25 dernières années». C'est surtout l'objet de tous les mystères, et ce depuis des années, tant il a été développé dans le plus grand secret.
Mais un secret qui ne l'est plus tant que ça à présent. Car – tenez-vous bien! – je suis en mesure, ce matin, d'en lever le voile. Comment ça? Eh bien, il m'est venu une drôle d'idée…
Je me suis dit que si Apple – comme toute autre entreprise, dans le fond – voulait frapper un grand coup – un coup, disons, phénoménal –, il lui fallait agir autrement que d'habitude. Il lui fallait non seulement miser sur ses forces existantes en matière d'innovation, mais aussi se doter de forces nouvelles et exceptionnelles. Autrement dit, il lui fallait carrément recruter des génies.
Je me suis alors mis à farfouiner ici et là, en quête d'informations sur d'éventuels prodiges récemment embauchés par la firme de Cupertino. Donc, de personnes surdouées dans leur secteur d'activité, et même dotées d'un profil atypique. Et à ma plus grande joie, j'ai trouvé un filon. Oui, un filon.
Ainsi, Apple a mis en place une véritable équipe de choc, forte de quelque 200 personnes, qui a travaillé à temps plein sur l'Apple Watch jusqu'à aujourd'hui. Et dans ses rangs, il y avait bel et bien les génies que je pressentais. Bienvenue dans les coulisses les plus secrètes de la firme de Cupertino!