Le bonheur peut tenir à peu de choses. Photo : DR.
BLOGUE. Qui ne songe pas, à certains moments de la journée, à ce qu’il pourra faire une fois le travail terminé? Voire au prochain week-end, si ce n’est durant les prochaines vacances? Se détendre au chalet, se baigner dans le lac, prendre une bière avec les chums, jouer au ballon avec les enfants,…
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À écouter certains, on pourrait même croire que les week-ends, il n’y a que ça qui compte dans la vie! Pas vrai? Qu’on ne travaille, en fin de compte, que pour pouvoir se payer du bon temps durant les dernières journées de la semaine. Et le lundi matin, le calvaire reprend, immuablement…
Mais, cette vision colle-t-elle à la réalité? Sommes-nous si malheureux que ça au travail? Et si heureux que ça durant la fin de semaine? Ces questions, à mon sens, méritent d’être posées pour qui se pique de management. Et j’ai trouvé des réponses forts intéressantes dans une étude intitulée Weekends and subjective well-being, signée par John Helliwell et Shun Wang, deux économistes de l’University of British Columbia.