Des vêtements et accessoires branchés
Au fil des dernières années, les «wearables» se sont trouvé une niche prometteuse du côté de la santé connectée. Selon le cas, on améliore donc la connectivité ou la collecte de données biométriques. Du côté de Garmin, on penche vers la première option, avec une montre Vivoactive 3 qui aura droit à une antenne LTE la reliant au réseau de Verizon, aux États-Unis. Il faut s’attendre à ce que de plus en plus de ces bracelets et montres d’entraînement se connectent aux réseaux cellulaires, cette année.
De son côté, la marque chinoise Huawei, qui a frappé fort avec ses téléphones l’automne dernier, présente une montre dont le logiciel n’est pas Wear OS, de Google. Les premières impressions ne sont pas très élogieuses pour ce Life OS, qui risque de subir le même sort que Tizen, chez Samsung. On verra bien.
Du côté des accessoires santé, on aime bien cet «haltère russe» (pas de farce, c’est comme ça que ça s’appelle) intelligent qui collecte de l’information sur vos répétitions et vos entraînements, pour vous aider à mieux performer. Pas sûr à quel point c’est nécessaire, mais bon…
Plus sérieusement, les troubles du sommeil sont un fléau que plus d’un accessoire connecté tente d’enrayer. Si jamais vous souffrez de tels problèmes, peut-être qu’un bandeau comme cet URGONight vous intéressera. L’appareil s’est même mérité un prix d’Innovation de l’année au cours du weekend. Il mesure l’activité cérébrale et propose des exercices pour la calmer, afin d’entraîner l’utilisateur à mieux dormir.