" Être sur Twitter pour y être, cela ne sert à rien "

Publié le 27/03/2010 à 00:00

" Être sur Twitter pour y être, cela ne sert à rien "

Publié le 27/03/2010 à 00:00

Selon les statistiques les plus récentes, les entreprises québécoises n'adoptent pas le Web 2.0 aussi massivement que leurs homologues canadiennes ou américaines. Il n'est pas trop tard pour le faire, note l'auteur de Comment entreprendre le virage 2.0.

Les Affaires - Quelle est la perception des entreprises québécoises quant au Web 2.0 ?

Raymond Morin - Elle est comparable à celle de nombreuses entreprises ailleurs dans le monde : plusieurs d'entre elles sont dépassées par la variété d'outils disponibles. Il n'est pas nécessaire d'être partout à la fois. Être sur Twitter pour y être, cela ne sert à rien.

L.A. - Le Web 2.0 est-il incontournable pour les entreprises québécoises ?

R.M. - La première réaction des dirigeants est souvent la même : ils craignent de perdre du temps et de l'argent. C'est pour cela qu'il est important d'intégrer les outils du Web 2.0 à la stratégie de l'entreprise.

L.A. - Quelle devrait être la réaction des dirigeants TI face au Web 2.0 ?

R.M. - Avant d'utiliser quelque outil que ce soit, il faut savoir comment il aidera l'entreprise. Par exemple, avec l'avènement de la génération C, certains outils du Web 2.0 peuvent aider à attirer les meilleurs travailleurs.

L.A. - Que doivent penser les dirigeants de ces fameux gourous des nouvelles technologies ?

R.M. - Je ne pense pas qu'un seul professionnel maîtrise toutes les technologies. Il est préférable de se renseigner auprès de plusieurs spécialistes avant de prendre une décision.

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