Jarislowsky : plutôt vendre RIM que la laisser mourir

Publié le 30/03/2012 à 10:14, mis à jour le 30/03/2012 à 11:03

Il vaut mieux vendre Research in Motion (RIM) que la laisser mourir, a laissé tomber Stephen Jarislowsky au sujet du fleuron canadien des technologies et télécommunications.

D’abord interrogé sur le nombre de transactions récentes qui tend à réduire le nombre d’entreprises canadiennes inscrites en Bourse, l’investisseur milliardaire et chef de la direction de Jarislowsky Fraser a cité en exemple l’entreprise de Waterloo en Ontario pour expliquer qu’il ne s’inquiétait pas trop du phénomène.

Que ce soit dans le secteur technologique ou ailleurs, d’autres entreprises finiront par croître et prendre la place laissée par les sociétés acquises.

Mais dans le cas de RIM, il pose comme condition pour approuver sa vente que les emplois demeurent au pays.

N.B. Par inadvertance, j’ai indiqué pendant mon entrevue avec M. Jarislowsky que c’est le Fonds de placement immobilier Canmarc qui a racheté le Fonds de placement immobilier Cominar, mais c’est bel et bien Cominar qui a acquis Canmarc, comme je l’ai écrit ici. Mes excuses.

Mathieu Lavallée

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