Il y a moins de 40 ans, des villes comme Dubaï et Abou Dhabi étaient inconnues des Québécois. Même que le mot «ville» dépeignait assez mal la réalité de Dubaï et d'Abou Dhabi de l'époque tellement celles-ci étaient isolées en plein désert et étaient peu développées.

Ces villes font aujourd’hui partie d’une région du monde où il se brasse de bonnes affaires. « La région est riche en gaz, en pétrole et en souverains multimilliardaires qui ne savent plus quoi faire de leur argent », explique Alexandre Teodoresco.

Le directeur de Global Nomad a vu des occasions d'affaires dans cette région du monde. La firme décrit-il, «ouvre les portes des marchés à l’exportation au Moyen-Orient pour les entreprises québécoises». Les mœurs et la culture y sont très différentes. Pour y réussir, il est primordial de les comprendre et de s’y adapter. L’entreprise a des bureaux à Montréal, dans les Émirats, au Koweit, au Qatar, en Iran et est en train d’ouvrir un bureau en Arabie Saoudite.

Alexandre Teodoresco mène des missions au Moyen-Orient avec des entreprises québécoises depuis plusieurs années. Il a fait trois missions de groupe et une douzaine de missions individuelles. Il vient de repartir pour quatre autres missions individuelles. J’ai rencontré Alexandre avant son départ afin de parler des plus grandes erreurs commises par Québécois lorsqu’ils désirent faire affaires au Moyen-Orient. Nous avons également discuté des possibilités d’affaires là-bas. Je serai en contact avec Alexandre tout au long de son voyage afin de pouvoir partager avec vous l’expérience des gens qu’il accompagne en mission. À surveiller...

Voici les secteurs les plus en effervescence au Moyen-Orient, selon Alexandre Teodoresco :

- Énergie (pétrole et gaz)

- Énergie renouvelable

- Santé (Abou Dhabi et Doha)

- Technologies vertes

- Aerospatial (Abou Dhabi et Doha)

- Logistique (Dubaï)

- Éducation (Doha et Arabie Saoudite)